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  • Rémunération selon profil
Sciences Po Lyon / IEP Lyon

Ingénieur d'étude en charge d'identification moléculaire de communautés benthique F/H (réf. RPSI45)

Sciences Po Lyon / IEP Lyon

Description des missions

Fonctions : Ingénieur-e d’étude en charge d’identification moléculaire de communautés benthique : de la collecte à l’assignation taxinomique
Emploi-type : Ingénieur-e en études d'environnements géo-naturels et anthropisés - A2D47
Catégorie : A
Corps : IGE
BAP : A

Profil recherché

Fonctions : Ingénieur-e d’étude en charge d’identification moléculaire de communautés benthique : de la collecte à l’assignation taxinomiqueEmploi-type : Ingénieur-e en études d'environnements géo-naturels et anthropisés - A2D47Catégorie : ACorps : IGEBAP : ACDD de 24 mois.A pourvoir à compter du 01/04/2026.Mission :Connaissances transversales requises :Choisir Sorbonne Université, c’est rejoindre une université engagée sur les enjeux de développement durable, de diversité, d’égalité, d’innovation, de diffusion des savoirs, d’ouverture sur le monde et de qualité de vie au travail de ses personnels.Université pluridisciplinaire de recherche intensive de rang mondial, elle s’attache à répondre aux enjeux scientifiques du 21e siècle et à transmettre les connaissances issues de ses laboratoires et de ses équipes de recherche. Contexte : Ce poste s’inscrit dans le projet STABILO.La mission principale de l’agent-e est de développer, d’adapter et de mettre en œuvre un ensemble de méthode et technique d’inventaire et de suivi par métabarcoding. Sous la responsabilité des chercheurs impliqués (JC Leclerc, E Thiébaut, C Daguin-Thiébaut, T Comtet, DISEEM), il/elle aura plus particulièrement à charge le second objectif du projet (Intercalibrer et tester la pertinence méthodologique d’une approche de métabarcoding ADN vis-à-vis d’une approche basée sur la morphologie pour caractériser la diversité d’une communauté), et contribuera ainsi indirectement aux trois autres. Ce travail s’intègre également dans le projet de thèse de V Ferrari, avec qui l’agent interagira régulièrement.Activités principales :L’ingénieur.e participera à l’organisation du suivi des communautés et de l’échantillonnage sur le terrain (15%) :Il/elle sera responsable de l’acquisition des données de métabarcoding (75 %) :  Suite des missions dans la rubrique "Conditions particulières d'exercice"Savoir-faire :Savoir-être :Un intérêt pour la plongée scientifique ainsi que la possession d’un certificat d’aptitude à l’hyperbarie (CAH) constitueront un plus au dossier.Déployant ses formations auprès de 55 000 étudiantes et étudiants dont 4000 doctorantes et doctorants et 12300 étudiantes et étudiants étrangers, elle regroupe plus de 3300 enseignantes et enseignants, enseignantes-chercheuses et enseignants-chercheurs, chercheuses et chercheurs, près de 4 000 enseignants-chercheurs et enseignants partenaires, environ 3 000 personnels de bibliothèque, administratifs, technique, sociaux et de santé (BIATSS) et 2000 ITA partenaires. Son budget est de plus de 700 M€.Située au cœur de Paris, elle présente une organisation avec des directions interfacultaires et trois facultés de « Lettres », « Santé » et « Sciences et Ingénierie » et est présente dans plus de 27 sites en Ile-de-France et en régions http://www.sorbonne-universite.frCe poste est à pourvoir au sein de la faculté des sciences et ingénierie • http://sciences.sorbonne-universite.frLa Station biologique de Roscoff (SBR) est un centre de recherche et d'enseignement en biologie et écologie marines.  Elle est sous la double tutelle du CNRS (Centre National de la Recherche Scientifique) et de Sorbonne Université. La Station biologique possède un double statut :Au sein de la SBR, l’UMR 7144 « Adaptation et Diversité en Milieu Marin » regroupe 85 agents (50 titulaires et 35 contractuels) dont 31 chercheurs et enseignants-chercheurs, et est structurée en quatre équipes de recherche :L'équipe EDYMAR « Ecogéochimie et dynamique des écosystèmes marins » vise à évaluer la diversité et les processus écologiques dans les environnements marins, ainsi que les cycles biogéochimiques le long du continuum terre-mer dans le contexte des changements globaux. L'équipe étudie les réponses de la biodiversité marine à l'anthropisation, au changement climatique, à l'eutrophisation côtière, aux systèmes artificiels et à l'exploitation des écosystèmes côtiers, ainsi que l'impact sur leurs services. Ces recherches reposent sur une forte expertise en écologie expérimentale in situ et en laboratoire,des réseaux d'observation côtière.

Date limite de candidature : 26 février 2026