Chef(fe) du bureau d'appui aux politiques publiques H/F
Vous êtes le/la chef(fe) d'un bureau qui joue un rôle essentiel dans la conception et la mise en oeuvre de la politique du Ministère de la transition écologique sur les questions de santé environnement.
A ce titre, vous coordonnez notamment les activités relatives à :
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La mise en oeuvre du Plan National Santé Environnement 4 (PNSE4) et l'animation de sa gouvernance (Groupe santé-environnement, Comité d'animation des territoires, ...) ;
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La mise en oeuvre du plan interministériel sur les PFAS et l'animation de sa gouvernance (comité technique et comité de pilotage) ;
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La contribution de la DGPR au plan chlordécone, à la stratégie nationale de biosurveillance, à la Task force interministérielle One Health, à la feuille de route antibiorésistance, au Green data for health (GD4H), à la stratégie nationale biodiversité, ... ;
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La tutelle technique de l'agence de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (ANSES), aux côtés des trois autres directions tutelles de l'Agence (DGT, DGS, DGAL). La DGPR est cheffe de file des tutelles pour l'année 2025 ;
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La conception et la mise en oeuvre de la politique en matière de qualité de l'air intérieur, y compris le suivi de l'Observatoire de la qualité des environnements intérieurs ;
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L'appui aux services déconcentrés lors de situations de contaminations de l'environnement susceptibles de présenter des risques pour la santé, y compris en phase post-accidentelle, ainsi que le développement de méthodes de gestion de l'impact environnemental et sanitaire d'accidents d'origine technologique ;
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La coordination de l'action des différents bureaux de la DGPR sur la thématique « amiante ».
Pour l'ensemble de ces missions, lorsque cela est nécessaire, vous vous appuyez sur les opérateurs du ministère (INERIS, BRGM, Cerema, CSTB...) et les agences d'expertise (Anses, SpF, ...), et vous contribuez au suivi technique et administratif de ceux-ci.
Le bureau comprend 4 chargés de mission, un(e) adjoint(e), et une cheffe de bureau. Vous assurez l'animation de l'équipe et l'encadrement de 5 agents de catégorie A dont 1 adjoint.
Vous êtes placé(e) sous l'autorité directe de la sous-directrice (n+1) et du chef de service (n+2).
En lien avec les missions du bureau, vous êtes amené(e) à avoir de nombreuses relations avec les ONG (FNE, WECF, SFSE, ASEF, RSE...), les partenaires sociaux (MEDEF, syndicats), le monde de la recherche et les autres directions au sein du pôle ministériel (DGALN, DGEC, DGITM, DGAC...) et à l'extérieur (DGS, DGT, DGCCRF, DGSCGC, DGAL?).
La plupart des activités nécessitent des collaborations avec d'autres bureaux de la DGPR, avec lesquels des relations étroites sont donc à entretenir.
Vous êtes amené(e) à représenter la direction dans des réunions interministérielles, des réunions avec le cabinet de la ministre, ou avec les interlocuteurs habituels de la direction dans les administrations, établissements publics, et entreprises.
…. pour assurer à la France une résilience face aux risques, limiter l’impact de notre environnement sur note santé, éviter le gaspillage et développer l’économie circulaire.… la DGPR et ses services déconcentrés régulent, autorisent et contrôlent les activités pour éviter les accidents, réduire les émissions, conduire notre industrie vers un développement durable et une performance de pointe. Sont concernées les activités du quotidien (stations-service par exemple) jusqu’aux gros sites industriels, l’industrie traditionnelle mais aussi les énergies renouvelables (éoliennes, méthaniseurs, barrages) ou les activités du futur (développement de l’hydrogène, des batteries, des nanotechnologies, etc.) … les démarches de connaissance, d’investissements pour la réduction des risques (inondations, avalanches, feux de forêt, séismes et volcanisme dans les zones concernées, etc.) sont mises en œuvre. La DGPR et ses services déconcentrés assurent aussi la prévision des crues des cours d’eau 7j/7, 24h24.… (produits chimiques dont perturbateurs endocriniens ou produits phytosanitaires dangereux, techniques OGM pouvant présenter des risques, bruit, ondes électromagnétiques, etc.)Ces actions portent notamment sur les objets du quotidien du smartphone aux couches-culottes, les produits utilisés au quotidien (peintures, désinfectants, produits ménagers, produits anti-pou, produits de traitement du bois, etc.), les pratiques du quotidien (expérimentation de « radars sonores ») mais aussi les cultures ou les process industriels qui ont un impact sur ce qui finira dans nos assiettes ou dans nos mains.La DGPR est par ailleurs impliquée dans la promotion d’une approche « une seule santé » en France, dont la nécessité a malheureusement été illustrée par la crise de la COVID.la DGPR agit pour la réduction du gaspillage, la lutte contre les plastiques inutiles (sur les lieux de vente, dans les emballages, etc.), le développement de la réparation et du ré-emploi, la constitution de filières de recyclage, la responsabilisation des entreprises vendant des biens.… d’outils réglementaires, de fonds publics pour soutenir les investissements ou inciter à changer les comportements, d’outils fiscaux (en lien avec le ministère du Budget), d’outils de communication, de partenariats, etc.…en France, en Europe - et parfois au-delà de l’Europe - pour les thématiques qui incitent à des partenariats à l’échelle planétaire, comme par exemple pour la protection de la couche d’ozone ou la lutte contre les pollutions plastiques.Si vous rejoignez la DGPR, préparez-vous à rencontrer acteurs économiques industriels et agricoles, associations, élus parlementaires et locaux, experts et chercheurs, diplomates, conseils juridiques, autorités de la concurrence, etc.
- agnes.lefranc@developpement-durable.gouv.fr
- philippe.bodenez@developpement-durable.gouv.fr