Chargé(e) de mission risques naturels littoraux F/H
Le chargé(e) de mission pilote la politique nationale de prévention des risques littoraux. Il est en particulier chargé de :
-Développer des cadres nationaux pour la prévention des risques littoraux :
-élaborer les textes, la doctrine et les guides ;
-assurer une animation des services déconcentrés et les appuyer dans la mise en oeuvre des PPRL;
-développer de la connaissance relative aux risques littoraux : pilotage des opérateurs de l'État pour la réalisation d'études spécifiques;
-contribution aux travaux de la DGALN/DEB pour l'élaboration d'une stratégie sur le recul du trait de côte;
-Contribution à l'élaboration d'une réglementation para-cyclonique : co-pilotage avec la DHUP des guides d'accompagnement élaborés par le CSTB;
-Commissions Cat-Nat (en lien avec le BRNT) : Expert technique en commission et contribution aux réflexions;
-Intervention dans les formations.
Le chargé(e) de mission peut être amené(e) à participer aux autres travaux du bureau et du MTE.
Management fonctionnel : Animation de réseaux, gestion de projets, animation de groupes de travail
Relations internes et externes :
-Relations internes : tous bureaux de la SDCAP et du SRNH, services déconcentrés, autres entités du MTES (DGALN, DHUP, CGDD, ONERC, DGITM, etc)
-Relations externes :Travail en réseau avec les correspondants des services déconcentrés, avec d'autres ministères (Intérieur, etc.), des établissements publics et organismes scientifiques (Cerema, INRAE, BRGM, ONF, SHOM, CENALT, etc.) des associations de collectivités (Cepri, ANEL, etc.), des partenaires européens etc..
…. pour assurer à la France une résilience face aux risques, limiter l’impact de notre environnement sur note santé, éviter le gaspillage et développer l’économie circulaire.… la DGPR et ses services déconcentrés régulent, autorisent et contrôlent les activités pour éviter les accidents, réduire les émissions, conduire notre industrie vers un développement durable et une performance de pointe. Sont concernées les activités du quotidien (stations-service par exemple) jusqu’aux gros sites industriels, l’industrie traditionnelle mais aussi les énergies renouvelables (éoliennes, méthaniseurs, barrages) ou les activités du futur (développement de l’hydrogène, des batteries, des nanotechnologies, etc.) … les démarches de connaissance, d’investissements pour la réduction des risques (inondations, avalanches, feux de forêt, séismes et volcanisme dans les zones concernées, etc.) sont mises en œuvre. La DGPR et ses services déconcentrés assurent aussi la prévision des crues des cours d’eau 7j/7, 24h24.… (produits chimiques dont perturbateurs endocriniens ou produits phytosanitaires dangereux, techniques OGM pouvant présenter des risques, bruit, ondes électromagnétiques, etc.)Ces actions portent notamment sur les objets du quotidien du smartphone aux couches-culottes, les produits utilisés au quotidien (peintures, désinfectants, produits ménagers, produits anti-pou, produits de traitement du bois, etc.), les pratiques du quotidien (expérimentation de « radars sonores ») mais aussi les cultures ou les process industriels qui ont un impact sur ce qui finira dans nos assiettes ou dans nos mains.La DGPR est par ailleurs impliquée dans la promotion d’une approche « une seule santé » en France, dont la nécessité a malheureusement été illustrée par la crise de la COVID.la DGPR agit pour la réduction du gaspillage, la lutte contre les plastiques inutiles (sur les lieux de vente, dans les emballages, etc.), le développement de la réparation et du ré-emploi, la constitution de filières de recyclage, la responsabilisation des entreprises vendant des biens.… d’outils réglementaires, de fonds publics pour soutenir les investissements ou inciter à changer les comportements, d’outils fiscaux (en lien avec le ministère du Budget), d’outils de communication, de partenariats, etc.…en France, en Europe - et parfois au-delà de l’Europe - pour les thématiques qui incitent à des partenariats à l’échelle planétaire, comme par exemple pour la protection de la couche d’ozone ou la lutte contre les pollutions plastiques.Si vous rejoignez la DGPR, préparez-vous à rencontrer acteurs économiques industriels et agricoles, associations, élus parlementaires et locaux, experts et chercheurs, diplomates, conseils juridiques, autorités de la concurrence, etc.
- elise.laperrousaz@developpement-durable.gouv.fr
- youven.goulamoussene@developement-durable.gouv.fr