Description des missions
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Pilotage du programme FEAMPA et maquettes financières : contribution au suivi budgétaire et stratégique du programme, construction de tableaux de bord sur les indicateurs et maquettes financière et appui à la pédagogie sur les actions auprès des partenaires,
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Appui stratégique et règlementaire : participation aux réflexions sur les dispositifs de crise, de soutien aux filières et de protection de l'environnement en identifiant les leviers réglementaires et budgétaires les plus appropriés
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Préfiguration de la future programmation (2028-2034) : participation aux échanges dans le cadre de la future programmation et contribution aux travaux de conception d'un cadre de performance adapté au volet PCP
Liaison hiérarchique :
Placée au sein du Bureau des fonds européens et d'investissements (BFEI), la personne recrutée travaillera en étroite coordination avec les autres bureaux de la DGAMPA, ainsi qu'avec les directions et ministères partenaires. Elle sera également en lien régulier avec les services déconcentrés, les conseils régionaux et les établissements publics impliqués dans la mise en oevre du programme (Agence de Service et de Paiement, FranceAgriMer).
Le ou la chargé.e de mission représentera la DGAMPA auprès des régions, des partenaires professionnels, des autres administrations centrales et, le cas échéant, auprès de la Commission européenne.
Profil recherché
La direction générale des affaires maritimes, de la pêche et de l’aquaculture (DGAMPA) est une administration centrale tournée vers le développement durable des activités maritimes et littorales. Elle soutient et anime une administration maritime de 2 950 agents, en administration centrale et dans les services déconcentrés, répartis sur toutes les façades maritimes françaises, tant dans l’Hexagone que dans les outre-mer. Au service de l’ensemble de la communauté maritime, la DGAMPA élabore et coordonne la mise en œuvre de la stratégie nationale de la mer et du littoral, réaffirmant la place de la mer au sein des politiques publiques. Grâce à la planification maritime, elle organise le partage de l’espace maritime en conciliant des usages de plus en plus variés (des énergies marines renouvelables aux câbles sous-marins en passant par le transport maritime, la pêche ou encore le nautisme), tout en veillant à une meilleure protection de nos écosystèmes marins. Présente sur tous les océans du monde, la France bénéficie d’un ensemble d’écosystèmes marins et littoraux particulièrement riche et diversifié. L’espace maritime français s’étend sur plus de 10 millions de km² - plus de 20 fois la surface de la métropole - dont 97 % se situent outre-mer. La France abrite également la quatrième plus grande surface de récifs coralliens au monde. Particulièrement dynamique, l’économie bleue représente quant à elle près de 700 000 emplois directs et indirects et rassemble des secteurs économiques variés tels que les transports et services maritimes, la croisière, la pêche, la conchyliculture, la plaisance, les loisirs nautiques et le tourisme littoral, les services off-shore, l’industrie navale et nautique ou les ports. Elle inclut aussi de nombreux secteurs émergents tels que les biotechnologies bleues et les énergies marines renouvelables.
